Le gâchis à un million est bien avéré. On peut se demander à qui cet argent a pu profiter, en tous cas pas aux potentiels usagers de la piscine qui n’existe pas. Le coût annuel d’exploitation est lui partagé par toutes les personnes qui fréquentent l’établissement tout au long de l’année.
Quand au deuxième terrain envisagé, il n’était pas utile de faire une étude pour savoir qu’il n’était pas viable.
Ce n’est qu’à cause d’une obstination maladive de faire passer ce projet avant les élections que ce terrain a pu être envisagé.
Il est certes important d’apprendre à nager, mais il est (...)