Quand on voit la puissance politique et médiatique du système policier (qui nous assène ses obsessions tous les jours à la TV et tient dans sa main les gouvernements), l’inflation de ces moyens de surveillance et de fichage, il y a de quoi s’inquiéter du niveau très bas des concours de recrutement. Niveau en chute libre qui d’ailleurs explique peut-être en partie le caractère systémique et quotidien des violences d’Etat exercées par les nombreux agents surarmés et très majoritairement (...)