Je viens de passer un peu plus de 6 mois sous surveillance électronique. Une épreuve loin d’être anodine, conséquence d’une condamnation, le 26 décembre 2018, à 18 mois de prison dont 8 fermes, dans le cadre du mouvement des Gilets Jaunes pour Violence sur Personnes Dépositaires de l’Autorité Publique. Le tout complété d’une interdiction de manifester sur la voie publique pendant 3 ans dans les régions Auvergne-Alpes et l’Iles de France.