Tout à fait. Il manquait quelqu’un pour penser aux conséquences. Les conséquences : eh bien, les squatteurs ont placé la question du mal logement au centre de la scène politique crestoise. Mais il est vrai qu’il s’agissait de jeunes, de chevelus, de hippies, de drogués. Ces gens-là, pensent-ils ? Quand ils parlent, on dirait des grognements. Comment leur langage inarticulé pourrait-il supporter une réflexion construite ? On dit même que dans le squatt se seraient dit des messes noires et mangé des enfants. Bref, des irresponsables barbares et sans cervelle. Comme l’Abbé Pierre, en fait.