Merci pour cet article. Toutefois, le plus dur, c’est d’avoir le courage de faire. Le logos c’est sympa, mais apparaît bien souvent comme un obstacle au « faire ». C’est la stratégie « de facto ». Et en réalité, le pas entre le logos et le faire n’est pas si difficile, et est suspendu dans le temps. Juste un instant d’indécision, une seconde d’hésitation entre une servitude volontaire et un avenir prometteur. Pas si improbable que ça...