Merci Sandrine, être et rester un esprit libre demeure toujours aussi difficile. Novlangue, temps de confusion et apocalypse cognitive font flores... Ricochets n’échappe pas aux pièges et semble devenir parfois la chambre d’écho ou le porte-voix de Nicolas Casaux qui ne dédaigne pas l’usage de l’insulte, de l’injure ou du mépris ; n’est il pas -à sa façon-, une sorte de Robin Diangelo qui ressasse ad libitum ses « concepts » et fait sa gloire là dessus ? Sur ricochets, dans un article qui prône ( enfin d’un façon pour une fois explicite la « violence révolutionnaire »), en dévalorisant (...)