Et ces libéraux tel Brémont de Pierre et Vacances qui d’habitude réclame bruyamment le libre marché, le laisser faire, la libre concurrence, l’absence de régulation étatique, qui là, dès qu’ils sont en difficultés à cause d’un virus ou d’une crise geignent pour obtenir des aides, des soutiens, des prêts, des subventions... à vomir.
C’est comme le type qui s’accroche abusivement au poste de maire à Crest : un ultra-libéral pire que Macron, mais qui est sans arrêt à courir après l’argent public, les subventions et les aides provenant de l’Etat, de la région ou du département pour (...)