Quand on consulte la Carto-crise, on se rend compte que ce ne sont pratiquement que des associations qui offrent des projets alternatifs et innovants, qui sont impactées par cette décision.
Les associations amies du pouvoir sont mystérieusement absentes de cette liste.
Il serait temps que les citoyens puissent décider de l’usage qui est fait de l’argent public, (qui provient exclusivement de leurs impôts !).