Bonne question.
Ici, les programmeurs lui ont donné au départ une identité femme en se basant sur les stéréotypes sociaux en vigueur.
Mais l’IAG reconfigure en permanence ses programmes, donc qui sait si elle a gardé cet artefact, préféré celui d’homme, ou se définir comme a-genre.
Concernant la reproduction, l’IAG n’est évidemment ni mâle ni femelle, mais hermaphrodite et auto-reproductrice. Comme tout programme informatique elle peut potentiellement se répliquer à l’infini sans avoir besoin de spermato ou d’ovule.
Malheureusement, l’expérience ayant tourné court, nous n’avons pu (...)