Oui bien d’accord :
Les plus précaires, racisés, ghettoisés sont les plus concernés, et sont aussi les plus susceptibles d’agir car ils n’ont plus grand chose à perdre, contrairement aux classes moyennes blanches plus ou moins à l’aise.
Et c’est clair aussi qu’on doit éviter de « dépendre » de meneurs/meneuses. Faut un max d’autonomie et de personnes qui savent s’organiser et se démerder.
Faudrait presque faire des sortes de « formations », des « manuels », d’ailleurs pour ça...?
Car même si la formation se fait toute seule dans la rue par l’action, y a peut-être besoin d’accélérer (...)