Autre exemple de pratique dictatoriale des flics couverts par le gouvernement, à Toulouse : Un journaliste de Rapports de force poursuivi pour rébellion, « Mais au delà de notre liberté de travailler, c’est le droit du public a être informé qui est remis en cause. Une fois de plus. Effectivement, nous ne comptons plus les journalistes visés délibérément par des membres des forces de l’ordre pendant les manifestations, les reporteurs d’images empêchés de se rendre sur les lieux d’actions, et même, à l’instar de Gaspard Glanz ou Alexis Kraland, ceux interpellés ou placés un temps en garde (...)