visionnaire, vous écrivez, je vous cite :
« ... on bascule dans la violence et la haine de l’autre.
.... on veut juste empêcher l’autre de parler voire d’exister.
ce ne sont plus les arguments de l’adversaire qui gênent mais son existence.
...On perd cette beauté et cette force qui permet d’arrêter la répression sans violence et de combattre la haine avec des mots... »
Je trouve votre analyse du comportement du gouvernement et de sa police très juste. Et c’est peut-être dans votre dernière phrase que vous l’êtes le plus ; visionnaire :
« ...on n’est pas loin d’avoir perdu. » À (...)