Sandrine, je suis d’accord avec la partie de votre commentaire qui conjugue la responsabilité du système et celles des individus. Je distinguerai l’acte individuel de désobéissance civile de Ludovik de la volonté organisée de tenter de construire un radeau de sauvetage à quelques uns. Le premier n’empêche pas de participer aux luttes collectives, le second est un luxe de classe réservé aux 10% ou 20% les plus nantis. Par ailleurs, selon moi cela est voué à l’échec car ces lieux seront des proies faciles pour des désespérés qui n’auraient pas pu, eux, acheter « leur » éco-hameau. Et nous (...)