Hyper déçue qu’à la semaine féministe on fasse de la gynéco, de la médecine douce et de la sophro. Du soin et les activités « sur soi », activités par « nature » féminines (ou plutôt, féminisées par le patricarcat !). j’aurais préféré qu’on discute de Silvia Frederici ou de comment redéfinir l’égalité dans une société non-capitaliste, de la place des femmes dans l’espace public... Mais apparemment c’est plus important de faire des tisanes en se regardant la chatte... ça alimente le marché du bien-être, c’est ce qui compte...!