Rien de très étonnant quand on sait que le-dit maire de Crest a osé donner le nom d’une rue crestoise à un factieux qui a été condamné à 10 ans de prison pour sa participation au putsch
des généraux à Alger.
Et puis essayes de dire devant lui que la Palestine est un pays occupé,(comme le Tibet du reste), sans provoquer une scène d’hystérie,(scène vue sur la place de l’église).
Il a essayé, (sans succès), de traduire en justice deux distributeurs de tract, dont une conseillère municipale.
Ce tract reprenait en gros des déclarations de Dominique de Villepin à l’époque, c’est dire (...)