Bonjour, D’abord, félicitation pour votre travail sérieux. Vous m’évitez de faire cette sordide récapitulation. Je viens de faire ce petit texte, que je vous envoie en partage. Salut et fraternité. Les mois d’été sont devenus, pire que jamais, le temps du consumérisme débridé, du carburant fortement taxé pour goinfrer les oligarques, des péages et autres octrois moyen-âgeux, « ne pas oublier de s’arrêter aux ères de repos », des ébergements précaires et de fortune à prix de luxe, sandwich-frites-pizza-soda- chouchous, pour aller s’avachir sur le sable (ou l’herbe), en compagnie de (...)