Les sociétés d’autoroute viennent d’annoncer qu’elles lançaient quelques cacahuètes aux conducteurs roulant beaucoup. Il est vrai qu’elle bénéficient d’une rente de situation, un peu comme avant 1789, les aristocrates, sans rien foutre, se voyaient gratifier de sommes substantielles (sans payer d’impôt…) par le Roi, dont ils étaient les suppôts.
Mais nombre de Crestois ignorent que ce cadeau doré sur tranche à un auteur, qui n’est autre qu’Hervé Mariton, dont le rapport a constitué la base de la cession de nos autoroutes à d’obscurs cénacles privés.
A considérer les comptes de la ville de Crest à la suite de la cour des comptes, il apparait que le gaspillage de l’argent public est une constante pour Hervé Mariton. Les finances de la ville sont en effet catastrophiques. Les impôts devront monter en flèche dans les années à venir pour éviter la catastrophe.
Il est probable que le premier édile n’ait qu’un sens très relatif de la valeur de l’argent. Hervé Mariton n’a en effet jamais travaillé, selon le sens commun du mot : toute sa carrière s’est déroulée à la mamelle de l’Etat. Qu’il est facile de dépenser l’argent que la sueur des autres a gagné.
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