Le 8 novembre 2018, à Gap, 7 personnes ont été convoqué.e.s pour un procès pour « aide au passage en bande organisée ».
La situation à la frontière franco-italienne dans le Briançonnais est de plus en plus tendue.
Les « solidaires » sont traqué.e.s, les exilé.e.s dépouillé.e.s, les situations de plus en plus invisibilisées.
Ce procès est le reflet d’une réalité qui s’ancre sans mesure dans le refus d’accueillir, la répression commanditée, l’état aux manettes.
Près de 1200 soutiens étaient présent.e.s devant le tribunal.
Voici quelques sons qui relatent l’ambiance de la journée.
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