Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID !

Le système policier, l’Etat et les gouvernements sont responsables : qu’ils ferment leur gueule

mercredi 5 juillet 2023, par Auteurs divers.

La police tue, la police assassine et mutile : suite...
Hélas, les conséquences dévastatrices du système policier et du tout répression choisi par le gouvernement, les conservateurs de tout poil et les droites en guise de réponse à une révolte légitime se sont manifestées à nouveau de manière tragique le week-end dernier : un mort par LBD à Marseille et un jeune entre la vie et la mort shooté à la tête par le RAID à Mont-Saint-Martin.

La révolte risque de reprendre de plus belle, d’une manière ou d’une autre.

Il serait temps que les élus de droite, macronistes et autres conservateurs ferment leur clapet. On a assez subi leurs discours puants et leurs mensonges récurrents.
Si ces tyrans suppôts du système autoritaire anti-démocratique en place maquillé sous l’appellation « république démocratique » pouvaient par pitié s’imposer le silence en attendant qu’on les dégage tous, ça nous ferait déjà des vacances, un apaisement auditif appréciable.

Solidarité aux victimes des flics et à leurs proches, solidarité avec les révoltes.

Il est grand temps de vraiment s’organiser pour mettre fin à ce système criminel, et pour construire enfin une société respirable pour toustes.

Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID !

🔴 UN MORT À MARSEILLE, UN HOMME DANS LE COMA DANS L’EST 🔴

➡️ Le bruit courait ce week-end : la police a tué à Marseille. Le parquet de la ville a confirmé le décès d’un homme de 27 ans suite à un tir dans le thorax dans la nuit de samedi à dimanche. Une information judiciaire pour « coups mortels avec usage ou menace d’une arme » est ouverte. Selon le parquet, les premiers éléments de l’enquête « permettent de retenir comme probable un décès causé par un choc violent au niveau du thorax par le tir d’un projectile de type flash-ball » dans une zone en proie aux tensions. Ce soir là, le RAID a tiré de grandes quantités de cartouches avec des fusils à pompe. La police a également massivement tiré au LBD.

➡️ La veille, le vendredi 30 juin à Mont-Saint-Martin, en banlieue de Longwy dans l’Est, le RAID avait tiré une balle dans la tête d’un jeune homme qui est toujours entre la vie et la mort. Ce soir là, Aimène, 25 ans, agent de sécurité, rentrait du travail et venait de rejoindre ses amis. Ils avaient acheté à manger et circulaient en voiture. « Je tourne la tête à gauche, j’aperçois des policiers dans le noir, je vois une lampe torche qui nous éclaire et j’entends “poc” », raconte son ami. Aimène ne répond plus. « Il y a du sang partout, je prends le volant pour éviter le terre-plein devant nous, je tourne à droite. Aimène est inconscient. Putain, il a pris une balle » explique un autre dans Le Monde. « Je lui retire sa casquette et un sachet entré dans sa tête, je vois un trou. » Il photographie la munition, tirée par le RAID. Les habitants de la ville racontent une nuit « terrifiante » durant laquelle le RAID « tirait à tout va » dissimulé dans les buissons. Un habitant a filmé une scène dans laquelle on voit trois voitures roulant à faible allure, puis le RAID tirer en leur direction. Aimène est en soins intensifs en Belgique, dans le coma.

Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID !

⚖️ JUSTICE D’ABATTAGE DANS LES TRIBUNAUX

- Des centaines de peines de prison ferme pleuvent sur les personnes arrêtées ces dernières nuits

« Dans une société hiérarchisée, on ne parle pas aux policiers comme à des égaux, on obtempère. »

Ce sont les mots d’une procureure à Marseille, lors du procès de personnes arrêtées dans les rues de la ville, un soir de révolte.
Cette magistrate définit en une phrase ce qu’est une société fasciste, un État policier. Loin, très loin, des principes d’abolition des privilèges, d’égalité devant la loi, principes qui sont théoriquement la base de cette « République » dont parlent tant nos élus.
En seulement 4 nuits de révolte, la police a arrêté au moins 3200 personnes. Des rafles de masse, souvent au hasard. Et des arrestations systématiquement suivies d’une comparution immédiate, c’est-à-dire un jugement immédiatement après la garde à vue, conformément à la demande du ministre de la Justice Dupont-Moretti. Des procès expéditifs, sans préparation, sans preuve, expédiés en quelques minutes. Une justice d’abattage, de classe, raciste.

Une justice qui a pour consigne d’incarcérer le maximum d’indésirables, de les terroriser. Lors de ces procès, les procureurs parlent de « peines pour l’exemple », destinées à « dissuader les autres ». Ce mardi, 350 personnes ont déjà été envoyées derrière les barreaux, selon le Ministre de la justice. Et cette véritable boucherie judiciaire continue chaque jour dans les tribunaux.

L’avocat Rafik Chekkat a assisté à ces comparutions ultra-violentes à Marseille. Il évoque une succession d’exécutions judiciaires pures et simple. Les procès ont lieu à huis clos, la présidente a fait évacuer le public. La justice est rendue, on le rappelle, « au nom du peuple français ».

Parmi les nombreux cas : un homme contrôlé en scooter avec un paquet de fromage récupéré dans un Monoprix. Il prend un an de prison ferme pour « recel ».
Un autre a été retrouvé par la police avec une cannette de Redbull, elle aussi volée dans un magasin qui avait été dégradé. 10 mois ferme. Pour une canette.
Trois hommes, sans antécédents judiciaires, ont ramassé des pantalons Hugo Boss devant le magasin après qu’il ait été cassé. Les vidéos montrent qu’aucun d’eux n’est entré dans le magasin. La Procureure demande de la prison ferme. « Les trois hommes ont sans doute touché les objets, mais rien n’indique qu’ils les aient pris » précise Rafik Chekkat. Un lycéen part immédiatement derrière les barreaux.
Un homme de 58 ans est jugé pour « recel » pour avoir ramassé des objets au sol trois heures après un pillage. Il est jugé coupable et condamné à une peine d’un an de prison ferme. « Du jamais vu » écrit l’avocat.
Trois hommes qui ne se connaissent pas, mais qui ont été arrêtés ensemble, selon les policiers, dans un magasin Monoprix, sont jugés ensemble. Ils n’ont rien volé. Il n’y a pas de témoins ni de vidéos. Seuls les procès verbaux de la police font foi. Prison ferme.
Deux trentenaires et un cinquantenaire ont été arrêtés par la BAC dans un magasin Auchan. Ils ont été frappés, l’un d’eux a la mâchoire et la main cassée. Un autre est blessé à la jambe. Un policier accuse un prévenu d’un coup à la tête, mais son certificat médical n’indique aucune blessure au visage. C’est parole contre parole. Il dit avoir perdu une chaîne en or d’une valeur de 500€ et réclame un remboursement. « Tentative de vol » pour les trois, « rébellion » pour deux d’entre eux. L’un d’eux voulait « prendre des fruits, car il n’en mange plus à cause de l’inflation ». Ils n’ont pas de casier. 6 mois de sursis pour le premier, 12 mois de prison dont 10 de sursis pour le deuxième, 18 mois ferme et une lourde somme à verser au policier pour « préjudice moral » pour le dernier.

Quelques centaines de kilomètres au nord, les mêmes scènes ont lieu au tribunal de Nanterre. « De très jeunes hommes, issus des quartiers populaire des Hauts-de-Seine, français, et en majorité noirs ou maghrébins » comparaissent à la chaîne, explique Médiapart.
Yamadou, 21 ans a été arrêté avec un feu d’artifice. Il est ouvrier, il rentrait du travail. Il a été attrapé par la police après avoir fait tomber son téléphone. « Ma grosse erreur, c’est d’avoir pris le feu d’artifice. Il était par terre, à côté de la mairie », il dit avoir tiré « vers le ciel ». Deux membres de sa famille ont subi de graves violences policières. Quand il avait 17 ans, son cousin a pris six balles par des policiers, et a été indemnisé. Les tireurs n’ont jamais été condamnés. Selon les magistrats, c’est un indice de culpabilité : il aurait « voulu se venger ». Yamadou n’a pas de casier. « C’est dur de s’en sortir de là d’où je viens » dit-il. « Au vu du contexte », le procureur demande de la prison ferme. Il part le soir même en détention.
Yvan, 18 ans, est accusé d’avoir brûlé une poubelle. Il dit qu’il se baladait dans le quartier. Il a été arrêté à côté d’un mineur qui avait un briquet. Une « destruction en réunion, une circonstance aggravante » pour le procureur, qui réclame une peine de huit mois de prison, avec mandat de dépôt.
Un autre, accusé de tir de mortier, se voit sermonner : « Il faut avoir confiance dans les institutions ! » par le procureur, qui réclame deux ans de prison, dont un an ferme avec mandat de dépôt. Voilà pour la confiance. Il part en prison dès la fin de l’audience.

Et ce ne sont que quelques exemples, parmi des centaines d’autres, de la violence inouïe qui se joue dans le calme des salles d’audience. Des juges, tranquillement installés dans leurs fauteuils, détruisent des vies de jeunes hommes accusés d’avoir réagi à l’exécution d’un adolescent par un policier. L’écrasement est total : humiliations, racisme, violences policières, et peines extrême pour ceux qui osent relever la tête. Pendant que les criminels en col blanc ou en uniforme sont systématiquement impunis et protégés.

À celles et ceux qui nous lisent : ne déclarez rien en garde à vue. Refusez les comparutions immédiates. Exigez un avocat. Essayez d’échapper aux griffes de la justice. Les mauvais jours finiront, protégez-vous avant que la révolution ne balaie enfin leur monde odieux et finissant.

Pour soutenir financièrement la défense juridique des inculpés, une caisse de soutien antiraciste est en ligne ici :
https://www.cotizup.com/legalteamantiraciste
Le compte rendu de Rafik Chekkat : https://twitter.com/r_chekkat/status/1675864605703254016
L’article de Médiapart : https://www.mediapart.fr/journal/france/010723/aux-comparutions-immediates-betement-j-ai-pris-le-mortier-je-voulais-l-allumer-comme-je-l-avais-jamais-fai

(post de Contre Attaque)

Dans la presse mainstream

Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID !
Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID !

🇫🇷ATTAQUES FASCISTES DANS PLUSIEURS VILLES

En plus d’une répression militarisée, des groupuscules fascistes jouent le rôle d’auxiliaire de police dans plusieurs villes de France contre la révolte. Brigades paramilitaires qui frappent des jeunes. Commandos armés. Attaques à coups de bâtons de manifestations pour Nahel. Et tout cela avec la bienveillance des autorités. Tour d’horizon d’un pays en chute libre.

Lyon : préparation d’attaque armée
Le 2 juillet, une centaine de néo-nazis se sont réunis devant la mairie aux cris de « Bleu-blanc-rouge, la France aux Français », « On est chez nous », avant de défiler dans le vieux Lyon. Sur Twitter, la préfecture dit que ce groupe a « tenté une opération de communication ». Une curieuse manière de décrire une descente de fascistes organisés pour frapper des personnes non-blanches.
Plus inquiétant encore, la veille, deux trentenaires d’extrême droite ont été arrêtés en possession d’une arme et de munitions de calibre 12, près d’un hôpital de Bron en banlieue lyonnaise. La voiture était équipée de fausses plaques d’immatriculation et a causé un accident. Ce qui a provoqué leur interpellation. Sur la banquette arrière, un fusil de calibre 12, chargé de trois cartouches, et une boîte de 111 cartouches de calibre 12. La police a aussi trouvé deux fusils et plusieurs boîtes de munitions au domicile du passager. Cet homme était connu pour provocation à la discrimination et dégradations de patrimoine, et interdit de port d’arme. Il a expliqué aux policiers qu’il était question de « se faire des Noirs et des Arabes », en réponse aux émeutes.

Chambery : milice fasciste
Dans la ville de Savoie, des groupes néo-nazis très violents organisent régulièrement des attaques. Le soir du match France-Maroc de la coupe du monde en décembre dernier, ils avaient notamment passé à tabac plusieurs personnes soupçonnées de supporter l’équipe maghrébine. Samedi soir, des militants sont descendus dans les rues en scandant « Français réveille-toi, tu es ici chez toi ! »
Le lendemain, des militants d’extrême droite patrouillaient à nouveau dans les rues. Une vidéo les montre marcher au pas, clairement menaçants, dans les rues, alors que la police contrôle une voiture conduite par un jeune non-blanc quelques mètres en arrière. Sur leurs canaux de communications, les fascistes de Chambery se sont vantés « d’affrontements » et d’avoir mis « la racaille au tapis […] les nationalistes plus efficaces que la police ». Une vidéo circulait lundi soir montrant en revanche l’un de ces militants d’extrême droite au sol, après avoir été corrigé.

Lorient : brigade paramilitaire
Vendredi 30 juin au soir, une trentaine de jeunes portant des cagoules s’est déployée près de la base navale où stationnent des fusiliers marins et des commandos marines. Ce groupe a attaqué les jeunes soupçonnés de participer aux émeutes, en les plaquant au sol, les menottant avant de les remettre à la police.
« On a laissé faire en début de soirée, parce que ça nous a soulagés », a expliqué une source policière. Interrogé, un membre du commando raconte tranquillement à la presse : « On se concertait avec la BAC qui nous disait où ne pas aller. Quant aux émeutiers, dès qu’ils nous voyaient, ils couraient. On courait aussi. Si on les attrapait, on leur mettait des Serflex aux mains. »
Un policier reconnaît : « certains d’entre nous ont finalement décidé de les disperser, se rendant compte qu’ils y allaient un peu fort. » Le commando lui, explique « Nous sommes du bon côté, nous… » sans expliquer qui compose le groupe. Probablement des militaires de la ville.

⚫Angers : reconstitution de ligue dissoute
Vendredi 30 juin au soir, les fascistes du groupuscule l’Alvarium, en principe dissout pour des violences racistes, attaque de la manif d’homme à Nahel. « Sales noirs, sales singes, on va vous buter », a lancé un militant d’extrême droite. Le groupe d’extrême droite porte alors des barres de fer, des matraques et des battes de base-ball. Des personnes sont passées à tabac, par des fascistes à visage découvert, certains de leur impunité. La scène est filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Une des victimes sera transportée au CHU d’Angers. « Seize points de suture et traumatisme crânien ».
Le lendemain soir, l’Alvarium organise carrément une soirée dans son local, dans le centre-ville. Une trentaine de fascistes poursuivent en courant des individus, « armés d’un couteau et de bâtons », puis font tirent un fumigènes incandescent.
Des riverains témoins attestent que la police « protège » l’extrême droite. En effet, après cette altercation, la police est allée protéger le local d’extrême droite, où la soirée a pu continuer tranquillement. « Les fachos, ils restent, et les autres, ils partent ? », lançait, samedi soir, un habitant, consterné.
Lundi soir à Angers, de nouveaux affrontements ont eu lieu devant le local de l’Alvarium.

Les fascistes sont le bras armé de l’Etat et de la bourgeoisie.
C’est leur nature même, depuis Mussolini et ses brigades de briseurs de grève dès les années 1920 : ils maintiennent l’ordre. On se souvient qu’en 2016 déjà, des groupes d’extrême droite tentaient de s’en prendre aux manifestations nantaises ou Lyonnaises contre la Loi Travail, ou des attaques fascistes contre les cortèges de Gilets Jaunes en 2018. Pour mater la révolte des banlieues, le gouvernement Macron et sa police travaillent main dans la main avec des milices.

Ce mardi matin sur BFM TV, la porte parole de la gendarmerie était interrogée sur ces agissements : « C’est condamnable ? » demande la journaliste, « ils peuvent se mettre en danger aussi, il faut éviter qu’ils se mettent en danger » répond la militaire. La seule inquiétude des autorités, c’est que les miliciens armés puissent se faire des bobos.

(post de Contre Attaque)

En Drôme

A Saillans dimanche 02 juillet a eu lieu une manifestation pour Nahel, et en solidarité avec les révoltes en banlieue.
Environ 40 personnes ont filtré temporairement les voitures avec des slogans (justice pour Nahel, Darmanin dégage...), puis accrochés des banderoles au pont.
Sur les banderoles :
Les gouvernements légifèrent, la police exécute ...Nahel
A bas l’Etat et son système policier autoritaire
Police partout, démocratie nulle part
...

Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID !
Manif pour Nahel à Saillans le 2 juillet

LE RACISME ET LA BARBARIE, C’EST SYSTEMIQUE DANS LA POLICE

Un brigadier chef de la police dénonce le racisme permanent, les violences récurrentes de ses collèges policiers, les tortures, la barbarie qui règnent dans la police
« Bougnoule, négro, je donne pas à boire aux négros »
Si je ne dénonce pas mes collègues policiers, je suis complice...
C’est un témoignage exceptionnel que livre le brigadier-chef Amar Benmohamed à la caméra de StreetPress. Insultes racistes, privation de nourriture, de soins, il révèle, documents à l’appui, des centaines de cas de maltraitance et de racisme dans les cellules du tribunal de Paris.
C’était en 2020. Depuis, ce ne sont pas ses collègues qui ont été sanctionnés... c’est lui ! Et Darmanin l’a justifié.
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=618211756946081&external_log_id=b0cb170d-3b81-4bf1-9b26-7856e63b35a6&q=brigadier-chef%20Amar%20Benmohamed

ACTUS & DIVERS

« LES FLICS QUI NOUS REPRIMENT A LA POSTE SONT LESMES QUI REPRIMENT LES JEUNES... ON GAGNERA EN RIPOSTANT ENSEMBLE »
Intervention de Gael Quirante, de Sud Poste Hauts de Seine au rassemblement de soutien à Alexandre, postier de Perpignan et militant CGT, menacé de révocation pour simple fait de grève contre la reforme des retraites
https://www.facebook.com/sudposte.hautsdeseine/videos/286201443917543

MANIFESTATION CONTRE LA REPRESSION DES JEUNES
Des manifestants perturbent une audience au tribunal de Lyon où 25 personnes vont être jugées en comparution immédiate. La salle a été évacuée. Le ministre de la Justice vient d’annoncer que 350 personnes ont été incarcérées depuis le début de la révolte des jeunes de quartier contre le racisme, les violences policieres et le meurtre de Nahel
https://www.facebook.com/santiago.amigo.14/videos/587053646945216

L’enfant qui n’est pas embrassé par le village, le brûlera pour en sentir la chaleur. (Proverbe africain)


Forum de l’article

  • Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID ! Le 5 juillet 2023 à 08:21, par rutabaga

    Vous citez un proverbe africain :
    « L’enfant qui n’est pas embrassé par le village, le brûlera pour en sentir la chaleur. »
    Mais il y a aussi un proverbe français qui dit :
    « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà »
    C’est qui qui gagne ?

    Répondre à ce message

  • Apaisement policier : un mort par LBD et un jeune en coma par tir du RAID ! Le 5 juillet 2023 à 06:07, par simon

    Juste une précision : le dernier paragraphe dévoile les complicités de l’ultra droite. Dans l’ensemble des articles sur Ricochets, il manque la constatation, l’analyse et la dénonciation de la diffusion de plus en plus rapide, de plus en plus importante, de moins en moins insidieuse de l’adhésion décomplexée aux thèses de la Le Pen ou de Zemour. Nous sommes réellement dans une situation pré(?)fasciste. Méfions nous de la multitude qui ne semble vraiment pas basculer vers la remise en cause du « système », au contraire et cela ne me semble pas suffisamment pris en compte ici. Situation, hélas classique en temps de crise du capitalisme.
    Le sommeil de la raison engendre des monstres.

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