Début juillet, des flics ont emmené un homme au commissariat et l’ont tabassé, alors que celui-ci réclamait que son fils ne soit pas étranglé par la police sous ses yeux.
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Extrait :
Pour toute réponse, Mohammed reçoit lui aussi des coups de matraque, se retrouve menotté, étranglé et se prend un coup de taser. Tout ça devant plusieurs témoins. Les flics veulent l’emmener au poste mais Mohammed est mal en point. Les pompiers qui viennent l’ausculter ordonnent aux policiers de l’emmener à l’hôpital, ce qu’ils finissent par faire malgré leur mauvaise volonté, arguant qu’il n’avait rien, qu’il faisait semblant. A l’hôpital, les médecins constateront bien des fractures des deux côtes et lui donneront 21 jours d’ITT.
A Vienne, à Paris, comme aux frontières, on constate encore et encore la violence raciste de la police (on observe qu’elle est beaucoup plus fréquente et plus violente envers les personnes « racisées » non-blanches) et quasi-systématiquement couverte (voire encouragée ?) de fait par la hiérarchie.
Dans ces affaires révoltantes, les bandes armées de l’état français ne font pas des bavures, c’est un système, une stratégie délibérée de la peur, de la tension et de la répression.
Soit c’est une stratégie décidée par les dirigeants de l’état, soit la police échappe au contrôle des gouvernements. Dur de savoir quelle option est la pire...!
Mais dans tous les cas :