La vidéosurveillance biométrique-algorithmique française déployée sous prétexte des JO, avec légalisation de la reconnaissance faciale en vue, se rapproche de certaines pratiques chinoises. Des cultures différentes, mais un fond autoritaire et techno-industriel commun qui converge vers des dystopies anciennement vues dans des films d’anticipation.
En france la vidéosurveillance biométrique-algorithmique automatisée se déploie à marche forcée sous prétexte de JO 2024, d’expérimentation, (...)