🔥 31 JUILLET : LA FRANCE ENTIERE A PARIS ! 🔥
Samedi dernier, nous étions plus de 320 000 personnes dans les rues partout en France. C’est exceptionnel même en plein été. Samedi prochain, allons plus loin et frappons plus fort. Soyons encore plus nombreux dans Paris, au plus près des lieux d’un pouvoir qui ne connait que le mépris pour ceux qui refusent ce monde totalitaire. Le 24 juillet, pour la première fois depuis très longtemps, les manifestants ont réussi à reprendre les Champs. Avec le nombre, mais aussi la détermination et l’audace, il est possible de faire bien plus. Et c’est d’ailleurs la seule façon que Jupiter se sentent en danger.
Vaccinés ou non, on ne veut pas être scannés pour prendre un café, manger en terasse, prendre le train, aller au cinéma ou tout simplement travailler.
La pandémie est bien réelle. Elle est complexe. Et ce n’est pas facile de trouver la solution pour s’en sortir. Mais ce qui est sûr, c’est que le chemin choisit par Macron est tout sauf le bon. Et qu’il ne résout rien à la pandémie. Il ne fait que pousser encore plus loin (très loin même) le délire d’une société de flicage permanent et d’une société de la peur.
👉Contre le pass d’identité sanitaire
👉Pour un accès libre, éclairé et équitable au vaccin
👉Pour la levée des brevets des vaccins
👉Contre les réformes antisociales
🔥🔥SAMEDI 31 JUILLET : LA FRANCE ENTIERE A PARIS. 🔥🔥
La VIDEO
- 31 juillet 2021 : appel pour la France entière à Paris
✊SAMEDI 31/07 : BLOC SOLIDAIRE ET DETER✊
Appel à venir avec des banderoles et pancartes solidaires tout autant qu’anti pass sanitaire -
Samedi, une 4e vague déferlera dans les rues, faisant écho à une indignation populaire fort légitime face aux mesures antisociales et liberticides imposées par les gouvernement de la honte. Pass sanitaire pour avoir le droit de circuler, travailler, se divertir, se soigner. Pass sanitaire de contrôle, de fichage, qui est la porte ouverte à toutes les dérives possibles.
Mais également, attaques en vue sur nos droits au chômage, nos retraites, dont le pass n’est que l’expérimentation du degré d’acceptation de la masse...
Loin, très loin de la stratégie de certains pays voisins (comme l’Espagne par exemple), qui ont choisi la voie du dialogue et de la pédagogie pour inciter les populations à se faire vacciner, le gouvernement macroniste s’aligne sur la seule méthode qu’il connaisse. Celle de la répression et de la sanction. Celle de la violence psychologique et physique.
Un choix de société, au profit du capitalisme inhumain, une certaine idée de l’enfer. Nous sommes conscients de la présence de l’extrême droite dans les rues, qui comme à l’accoutumée, surfe sur les colères pour les récupérer, appliquant un masque souriant sur la haine de l’autre. Notre victoire se fera sans eux. Comme si l’extrême droite pouvait décemment défendre les libertés et condamner l’excès de répression et de contrôle... La bonne blague !
Nous, tous et toutes ensemble, c’est le projet d’une société désirable et juste, que nous portons. Une société où la solidarité n’est pas un vain mot, où l’attention portée à l’’autre est la méthode la plus adéquate pour fédérer.
Samedi, venez avec vos pancartes, banderoles solidaires, portant haut et fort les valeurs de solidarité qui nous sont chères.
Et déferlons ensemble telles des vagues bleues, rouges de notre saine colère.
Quelques idées/exemples. N’hésitez pas à poster vos idées en commentaires :
« Tous surveillants, tous surveillés, on ne veut pas de cette société »
« Tout le monde déteste le QR code »
« So so solidarité avec les vaccinés/ levez les brevets »
« Et big pharma c’est dégueulasse et big pharma c’est dégueulasse »
« Mon boulanger n’est pas policier »
« Ni pass ni faf ni état policier »
« A bas le pass, les fafs et les brevets »
ILS ONT PEUR DU MOUVEMENT SOCIAL ET ILS RECULENT...
MAIS ATTENTION, ILS MANŒUVRENT AUSSI
AMPLIFIONS LA PRESSION, NE NOUS LAISSONS PAS DIVISER
TOUS ENSEMBLE DANS LA RUE DANS LES JOURS QUI VIENNENT !
Ils ont retiré le "licenciement" des mesures contre ceux qui ne seraient pas vaccinés et supprimé l’interdiction d’accès aux grands magasins et aux urgences hospitalières à ceux qui n’auraient pas le pass sanitaire.
C’est la pression montante de la rue qui les inquiètent et ils reculent.
Mais en même temps, en supprimant le "licenciement" de leur ensemble de mesures, ils essaient de freiner la vague de révolte croissante dans les hôpitaux tout comme la mobilisation de la base syndicale qui prend de l’ampleur.
Ils veulent empêcher la jonction entre la masse des manifestants et le secteur organisé de la classe ouvrière. Cette jonction pour eux serait en effet mortelle. C’est pourquoi ils l’essaient de l’empêcher d’une part, comme au temps des Gilets Jaunes, en confondant volontairement les manifestants contre l’obligation vaccinale avec des manifestants anti-vaccins ou d’extrême droite, irresponsables et égoïstes, mais voyant que ça ne suffit plus vu la mobilisation montante, ils essaient d’autre part maintenant, par une seconde manœuvre, de donner du grain à moudre aux directions syndicales pour les satisfaire afin qu’elles ne s’engagent pas dans le combat alors qu’elles commençaient à s’agiter sur ce point précis sous la pression de leurs bases.
Alors, attention, s’il y a bien un recul il y a aussi une entourloupe, puisqu’ils remplacent le licenciement par une suspension du contrat de travail et du salaire durant deux mois, avec possibilité de mutation obligatoire, mais sans préciser ce qui se passera au bout des deux mois. Un renouvellement de la suspension du contrat et du salaire, de manière indéfinie ? Une mutation impossible à accepter ? Ce qui sans être un licenciement y ressemble quand même à terme. Alors ne nous laissons pas abuser.
Continuons la pression tous ensemble, qu’on soit vaccinés ou non, qu’on soit syndicaliste ou simple citoyen, dans la rue et dans les syndicats, c’est le moment de s’engager à fond.
On tient le bon bout, ils ont peur et ils le montrent, ce n’est pas le moment de lâcher mais au contraire d’amplifier la mobilisation.
ON PEUT GAGNER !
Jacques Chastaing
"Le vieux fascisme si actuel et puissant qu’il soit dans beaucoup de pays, n’est pas le nouveau problème actuel. On nous prépare d’autres fascismes. Tout un néo-fascisme s’installe par rapport auquel l’ancien fascisme fait figure de folklore […]. Au lieu d’être une politique et une économie de guerre, le néo-fascisme est une entente mondiale pour la sécurité, pour la gestion d’une « paix » non moins terrible, avec organisation concertée de toutes les petites peurs, de toutes les petites angoisses qui font de nous autant de microfascistes, chargés d’étouffer chaque chose, chaque visage, chaque parole un peu forte, dans sa rue, son quartier, sa salle de cinéma."
Gilles Deleuze, février 1977.
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