Le capitalisme, c’est le luxe indécent pour quelques uns, une grosse consommation de produits industriels pour une minorité, et l’exploitation (...)
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Le capitalisme, c’est le luxe indécent pour quelques uns, une grosse consommation de produits industriels pour une minorité, et l’exploitation (...)
Salut à toutes et tous !
C’est parti pour la 2e édition du festival du Maquistan, du 6 au 8 juin 2025 à l’Ancrage à Vassieux en Vercors. Ce (...)
Troisième mi-temps ! On se retrouve lundi matin (23 octobre). NON : la pelleteuse ne redémarrera pas tant que toutes les demandes de (...)
En septembre, les travaux prévus de longue date ont commencé : chemin et digue déforestés, arbres abattus et broyés...
Et bientôt : 110 000 (...)
« Que chaque sale et mauvais vagabond s’arme d’un révolver ou d’un couteau, guette sur les marches des palais des riches et poignarde ou fusille (...)
La vague de fascisation de la société ne peut pas être ignorée. Nous nous devons d’avoir un oeil sur certaines dynamiques. Le Nord Isère en fait partie. Tombé dernièrement dans l’escarcelles des députés R.N, nous veillons sur tout les signes possibles et imaginables : racontars, polémiques, graffitis, destructions, agressions, les droites extrêmes et réactionnaires ne sont jamais très loin.
Cette carte est actuelle, pour autant nous sommes les héritier.e.s du travail de veille effectué par d’autres. En nous inspirant de ce qu’a déjà fait la Horde et les Kommanches, cette cartographie propose une vision d’ensemble sur la nébuleuse nationaliste. Nous avons surtout essayé de raconter les liens qui existent entre les diffèrents courants, groupes et personnalités.
Avec cette pandémie due au coronavirus, l’alternative est plus claire que jamais : soit laisser s’approfondir la gestion technocratique, (...)
Rami Abou Jamous écrit son journal pour Orient XXI. Ce fondateur de GazaPress, un bureau qui fournissait aide et traduction aux journalistes occidentaux, a dû quitter en octobre 2023 son appartement de Gaza-ville avec sa femme Sabah, les enfants de celle-ci, et leur fils Walid, trois ans, sous la menace de l’armée israélienne. Réfugiée depuis à Rafah, la famille a dû ensuite se déplacer vers Deir El-Balah et plus tard à Nusseirat, coincés comme tant de familles dans cette enclave miséreuse et surpeuplée. Un mois et demi après l’annonce du cessez-le-feu, Rami est enfin de retour chez lui avec sa femme, Walid et le nouveau-né Ramzi. Pour ce journal de bord, Rami a reçu le prix de la presse écrite et le prix Ouest-France au Prix Bayeux pour les correspondants de guerre. Cet espace lui est dédié depuis le 28 février 2024.
Les politicards adorent la démocratie, la pluralité et les contre-pouvoirs, sauf quand des organismes indépendants se mettent à contester leurs (...)
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