Je suis choquée !
Hier, vendredi 22 novembre, je me rends au Commissariat de Police de Valence pour déposer une plainte suite à une (...)
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Je suis choquée !
Hier, vendredi 22 novembre, je me rends au Commissariat de Police de Valence pour déposer une plainte suite à une (...)
Pour notre territoire, soirée discussion sur les divers groupes et divers modes d’actions utiles à la résistance.
Suite au succès de la soirée (...)
⚫ASSASSINAT POLITIQUE ⚫
Le Chili ne cesse de plonger dans la terreur face à la révolte qui ne faiblit pas. Après l’assassinat en octobre de (...)
Le Crestois, dans sa dernière livraison, dresse un panorama des perturbations qu’ont subies nos vies en raison lors du récent épisode neigeux. (...)
Il y a deux semaines, nous publiions un article d’Alain Brossat fustigeant le mouvement à Hong Kong et sa jeunesse nihiliste manipulée par des intérêts géopolitiques qui profitent, en dernière instance, aux États-Unis de Trump. Cette semaine, voici justement l’analyse produite par des camarades américains qui sont allés à Hong Kong fin août et parviennent à mêler le récit d’une journée importante de manifestation (le 31 août) à une analyse plus fine de la situation : à côté de toute idéologie figée, ils tentent de mettre en avant ce que le mouvement a su inventer de nouveau à même la lutte. Entre la stratégie « Be water » et la mise en lumière du contrôle social à la chinoise, les auteurs voient également quelques limites du mouvement, dont la contradiction finale réside dans le fait d’avoir besoin, pour gagner, d’activer une contestation au sein même de l’empire chinois.
Au moment où nous finissons la mise ne page de cet article, l’université Polytechnique de Hong Kong est encerclée depuis plusieurs heures par la police qui a bouclé le quartier. On trouve un fil telegram des événements par ici
Fredric Jameson a écrit un jour qu’il était plus facile d’imaginer la fin du monde que de concevoir la fin du capitalisme. Pendant un certain temps, la formule de Jameson reprise par Slavoj Zizek et bien d’autres semblait indiquer la possibilité d’une critique radicale de l’ordre dominant de la civilisation capitaliste euro-moderniste. Mais au lieu de cela, cette formule est devenue un trope maintes fois répétée par des journalistes, des experts, des politiciens et des activistes ; de sorte qu’aujourd’hui, c’est une phrase ou une réflexion qui, avant tout, a tendance à tranquilliser les gens dans la mesure où elle pointe notre manque de capacité à imaginer quelque chose de différent.
Ce vendredi 22 novembre, la porte parole du gouvernement était de passage dans la Drôme, pour venir une fois de plus distiller la propagande (...)
Avez-vous remarqué que cet été, au fort de la canicule, on entendait les arbres craquer ? Il fallait même être prudent car des branches (...)
Comprendre, assimiler les facteurs responsables des incendies multiples qui se déroulent sur le globe. Répondre par le boycott et le choix de nos achats. Notre porte-monnaie est notre premier pouvoir.
Un appel à la grève est lancé pour le 5 décembre contre la réforme des retraites. Il est évident pour tout le monde que les personnes qui y (...)
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