Ci-dessous, un franc morceau de rigolade climato-négationniste extrait du site libéral extrémiste Contrepoint (par pitié pour l’auteur, son nom (...)
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C’est pénible de s’intéresser aux frasques immondes des tyrans qui profitent allègrement des institutions non-démocratiques existantes et des (...)
La vidéosurveillance investit les campagnes dans l’indifférence générale - Alors que la reconnaissance faciale suscite inquiétudes et critiques (...)
Le tyran et son ministère de la terreur veulent dissoudre les soulèvements de la terre ce 21 juin et ont lancé une nouvelle vague (...)
Cela fait des semaines maintenant que je ressasse ces mots dans ma tête, que je tente de prendre du recul sur ces dernières semaines, avec le besoin presque vital de retrouver de l’autonomie critique, de se poser et de poser des questions aux gens qui m’entourent afin de remettre le discernement de chacun.e au centre de cette crise.
Joseph Andras et Kaoutar Harchi ont ceci de commun qu’ils font de la littérature un instrument politique, chacun à leur manière. Ils font perdurer une certaine idée de la gauche, celle qui porte l’inquiétude de son propre échec, celle qui essaye de ne pas plier sous le sentiment de l’inutilité, celle qui tire son engagement des réalités matérielles et non des abstractions théoriques. Les deux écrivains, qui ont fait connaissance via leur éditeur commun, Actes Sud, souhaitaient écrire ensemble un article, voire un livre, sur la littérature et l’engagement politique. Ils ont choisi Frustration Magazine pour amorcer cette réflexion, sous la forme d’un dialogue. Ils nous parlent ainsi des classes sociales, du racisme, du communisme, et au milieu de tout cela, du rôle de l’écriture et de l’espoir porté par les Gilets Jaunes. Aujourd’hui, nous publions la première partie de cet échange ; elle est consacrée à la notion de transfuge, qui nie les rapports sociaux de race. Nous mettrons en ligne chaque semaine la suite de cet entretien en cinq parties.
Après ces premiers jours écrasants, les Français retrouvent leurs esprits et, apparemment leur combativité.
Le tableau qui se dessine est (...)
Dans la longue série concernant la fusion de l’Etat et du Capitalisme, voici une des pièces maitresses, avec la contre-réforme retraites, des (...)
Pour avoir vécu, dans les années 60/70, pendant lesquelles la morale catholique imposait d’un talon de fer, ses canons -( les lieux (...)
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