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Soirée pour discuter des différentes actions possibles pour sortir du monde capitaliste, et voir comment les mettre en oeuvre ensemble. 18h45 : (...)
Les destructions de la nature et du tissu du vivant faites par le système techno-industriel productiviste sont terrifiantes, énormes et (...)
Ce mois-ci, l’Actu des Oublié.es réalise deux épisodes consacrés à la lutte pour des systèmes de soin dignes et respectueux des soignantes comme des patientes en Europe et en Amérique du Nord. Ce deuxième épisode vise à explorer différentes formes de lutte et stratégies pour se réapproprier collectivement notre santé.
Le régime et sa répression ciblent les personnes qui informent et qui filment les flics en action. Ce n’est pas nouveau hélas dans ce régime (...)
Si chaque Acte devait avoir un rôle depuis le début du mouvement, celui de l’Acte X fut peut-être de faire passer au second plan le démarrage du « grand débat national » lancé par Macron. En essayant d’analyser la fausse distinction entre parole et action ou débat et manifestation, cet article pose trois conditions sans lesquelles il paraît difficile d’envisager un vrai débat : le désarmement de la police (car « on ne discute pas avec un LBD pointé sur la tempe »), l’amnistie des prisonniers du mouvement (puisque « c’est aussi avec eux que nous voulons débattre ») et la destitution de Macron et de son gouvernement (étant donné qu’ils l’empêchent physiquement et en faussent les termes). Autant dire que, si débat il doit y avoir, il est à chercher ailleurs que dans les salles qui seront gentillement mises à disposition des citoyens les prochaines semaines.
Tripatouillages démocratiques (suite)
Au prétexte de stabilité politique, de leur stabilité politique, les oligarchies ont trouvé mille (...)
C’est l’euphorie totale dans les bourses, les médias libéraux et les réunions d’actionnaires, le champagne et la coke s’étalent, c’est la (...)
Des élus forcenés veulent imposer le tout voiture et la destruction à terme de centaines d’hectares de terres fertiles et irrigables près du (...)
« J’ai l’impression qu’aujourd’hui on a rétabli le crime de lèse-majesté en macronie », déclare le journaliste Taha Bouhafs à sa sortie du tribunal le 18 janvier 2020.
Rappel des faits de cette incroyable soirée au théâtre des Bouffes du Nord et de ce qui s’en est suivi pour le journaliste. Des rédacteurs réguliers de Ricochets ont vécu cela de près et ont fait le lien avec l’affaire Benalla.
Déclaration de l’avocat de Taha Bouhafs :
« On a mis un journaliste (en cause) (...), parce qu’il était journaliste, et parce qu’il a informé, donc c’est le droit d’information qui a été entravé par la justice de manière assez inédite.
Donc il faut comprendre qu’aujourd’hui le Parquet voulait signifier à TOUS les journalistes que s’ils informaient il y avait un risque qu’ils aillent en prison. »
« Nous allons déposer plainte pour faux et usage de faux par personne dépositaire de l’autorité publique. Nous allons déposer plainte pour violation de liberté individuelle. »
« Dès lors qu’il y a un désaveu cinglant et qu’il y a un mensonge de la garde d’Emmanuel Macron et de l’Elysée on peut d’ors et déjà parler d’une affaire d’Etat. »
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