Alors que LIDL souhaite toujours installer un magasin à Aouste-Sur-Sye en Vallée de la Drôme, voyons quelques affaires qui montrent que bosser (...)
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Alors que LIDL souhaite toujours installer un magasin à Aouste-Sur-Sye en Vallée de la Drôme, voyons quelques affaires qui montrent que bosser (...)
Si l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes a constitué une indéniable victoire pour un mouvement protéiforme et courageux, cette concession de l’appareil étatique s’est accompagnée d’un assaut hors norme contre tout ce qui s’était déployé positivement sur la zone et avait permis au fil des années une résistance de longue haleine. Depuis, certains habitants ont quitté la ZAD pendant que d’autres ont choisi de rester et de négocier en espérant préserver et développer la plus large part d’autonomie possible. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la continuation de la ZAD par d’autres moyens a suscité son lot de désaccords, de conflits et souvent de polémiques auxquels s’ajoutent autant de blessures et de déchirements. Ce texte écrit par des « ancien.nes combattant.es de la ZAD » ouvre une question aussi épineuse que délicate : comment dénouer ce qui, dans la lutte, relève de la victoire ou de la défaite.
Nord Ardèche, ce samedi 17 octobre 2020 (ixième semaine -j’en ai perdu le compte mais il doit désormais approcher sinon dépasser la centaine- du (...)
Le centre d’affaire du Crédit Agricole de Valence été ciblé par des militant.es d’Extinction Rebellion. Les entrées et le bâtiment de la banque, partenaire financier majeur de TotalEnergies via sa filiale Amundi, ont été recouverts de peinture et d’inscriptions afin de dénoncer les violations de droits humains et les pratiques écocidaires de la pétrolière française et de ses sous-traitants en Afrique.
Incroyable, après les multiples répressions utilisant le délit « d’apologie du terrorisme » (voir en PS) les députés français viennent de voter (...)
Destituer le gouvernement ou virer des ministres ne suffira pas, c’est tout le système en place qui est le problème
Cette crise sanitaire très (...)
Un article sur Reporterre, et quelques remarques plus larges : Le passe vaccinal détruit l’avenir des adolescents - Notre manque de réaction (...)
Alors que le Macron en campagne vient faire sa petite com électorale en Drôme via la gastronomie mardi 8 juin, voyons ce que le secteur (...)
Définir collectivement d’autres priorités que la répression et la surveillance, développer la solidarité et le partage.
On parle beaucoup de (...)
Joseph Andras et Kaoutar Harchi ont ceci de commun qu’ils font de la littérature un instrument politique, chacun à leur manière. Ils font perdurer une certaine idée de la gauche, celle qui porte l’inquiétude de son propre échec, celle qui essaye de ne pas plier sous le sentiment de l’inutilité, celle qui tire son engagement des réalités matérielles et non des abstractions théoriques. Les deux écrivains, qui ont fait connaissance via leur éditeur commun, Actes Sud, souhaitaient écrire ensemble un article, voire un livre, sur la littérature et l’engagement politique. Ils ont choisi Frustration Magazine pour amorcer cette réflexion, sous la forme d’un dialogue. Ils nous parlent ainsi des classes sociales, du racisme, du communisme, et au milieu de tout cela, du rôle de l’écriture et de l’espoir porté par les Gilets Jaunes. Aujourd’hui, nous publions la première partie de cet échange ; elle est consacrée à la notion de transfuge, qui nie les rapports sociaux de race. Nous mettrons en ligne chaque semaine la suite de cet entretien en cinq parties.
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