Oui je suis assez d’accord, mais ce n’est pas de ça dont il est question dans cet article et dans le livre. Il est question de critiquer la quête d’un pseudo bonheur individualiste par du « développement personnel » à toutes les sauces. Ca dépasse donc de loin (et sans doute ça n’y répond même pas la plupart du temps) le nécessaire besoin de bien se connaître et d’être à peu près d’aplomb dont vous parlez. Ca devient une idéologie et une stratégie pour ne pas parler des problèmes de fond, et surtout pour éviter de chercher à y remédier concrètement. Traiter vaguement les symptômes, les (...)