C’est bien là le problème des propositions extrémistes, stade infantile de l’anarchie, comme dirait l’autre. Elles rebutent l’adhésion et finissent par être contre-productives. Par ailleurs, leurs auteurs, si par malheur, ils parvenaient au pouvoir, seraient nécessairement amenés graduellement à imposer la terreur et la dictature pour imposer leurs vues radicales. On part du désir de démocratie : on met en place la tyrannie (cf le communisme). Utopie et dystopies sont cousines germaines.