un autre article édifiant :
« Le pire contre-sommet de l’histoire » - Biarritz ou le triomphe de la non-bataille
On peut être défait pour avoir eu le dessous dans un affrontement, mais au moins a-t-on pour soi l’expérience de s’être battu, et parfois la certitude que d’autres viendront un jour vous venger. La défaite absolue consiste en ce que Guy Brossollet appelait la “non-bataille”. Il n’y a pas même de défaite, et c’est cela la véritable défaite.