M. Breynat, malheureusement dérape. A faux. Car en premier lieu le problème n’était pas la charte proposée, mais l’expression, et seulement l’expression : « citoyens de Biovallée ». Dommage que cette épine pollue une charte, dont il n’y a rien par ailleurs à rejeter. Il est étrange que cette expression malheureuse ait pu échapper au distingué aréopage qui l’a rédigée. Existe-t-il un passeport Biovallée ™ ? L’INPI (qui enregistre les noms de marque) constitue-t-il un état civil ? Non, et c’est heureux. Nous sommes citoyens français, point ! Par contre pour le bien de Biovallée™ (...)