AGENDA

L’idée de subsistance, dans la modernité industrielle, est associée à la pauvreté, à la pénurie, voire à la survie biologique. L’idéologie économiste dévalorise les économies de subsistance des peuples non industrialisés.

L’innovation technologique n’a pas entraîné un développement durable, mais a intensifié la marchandisation du monde. L’écologie radicale remet en cause le capitalisme, le déferlement technologique, l’organisation industrielle et l’impératif de croissance.

La décroissance est une réduction de la production et de la consommation, avec quatre aspects : on le fait pour alléger l’empreinte écologique, de manière planifiée démocratiquement, en faisant attention aux inégalités et dans le souci du bien-être.

Avec Geneviève Azam, Economiste, chercheuse à l’université de Toulouse, militante Attac France, auteure de « Lettre à la terre » ; Timothée Parrique, (en VISIO), Chercheur en économie écologique à l’Université de Lund-Suède, auteur de "Ralentir ou périr - L’économie de la décroissance" ; Pierre Thiesset, Journaliste à La Décroissance et dirige la collection "Le Pas de côté" à L’échappée

(durant les XXII^es Rencontres de Die et de la Biovallée 2024 - du 24 au 28 janvier)